Institut des carrières commerciales

Enseignement supérieur de Promotion Sociale
Ville de Bruxelles

La qualite à l'ICC

 

Qui ?

Qui est concerné par le principe d’amélioration continue de la qualité ?

Tout le monde… (voir également le « pourquoi ? » ci-dessous)

Quoi ?

En quoi consiste le principe d’amélioration continue de la qualité ?

C’est une démarche continue (la qualité est un voyage, pas une destination) qui respecte les trois volets de toute philosophie orientée sur l’amélioration de la qualité.

Cette méthodologie de travail permet de définir des procédures applicables aux domaines à améliorer.

Quand ?

Quand améliore-t-on la qualité ? Tout le temps… Mais encore :

Le principe de TQM (Total Quality Management), ou Qualité Totale,  est apparu dans les années 1950 grâce, notamment, à DEMING (un Américain qui a fait fortune au Japon).

Dans l’enseignement belge, cette notion date de 2002, avec la création de l’Agence pour l'Evaluation de la Qualité dans l'Enseignement Supérieur.

À notre niveau, à l’ICC, c’est dès maintenant que nous devons songer à améliorer de manière continue la qualité de nos prestations, grâce à des outils d’évaluation, des procédures à respecter et des corrections systématiques pour améliorer la qualité de nos prestations. (En promotion sociale, l’évaluation est continue. Elle comprend l’évaluation formative lors des travaux et exercices, l’évaluation sommative lors des interrogations visant à contrôler le niveau des compétences acquises, et l’évaluation sommative finale, dite certificative, qui a lieu lors de l’examen final.)

Rappel important aux chargés de cours sur l’emploi du temps.

Où faut-il améliorer la qualité ? À chaque étape des procédures où nous sommes impliqués, directement ou indirectement. Autrement dit aussi bien en amont (lors des préparations de cours) qu’en aval (après les évaluations des cours), que sur toute la chaîne logistique de fabrication des savoirs, connaissances et compétences.

Comment ?

Comment améliorer la qualité ?

En se documentant sur le principe d’amélioration de la qualité (voir références ci-dessous) si l’on n’est pas familiarisé avec ce concept.

En respectant les procédures définies pour la promotion sociale.

En se conformant strictement – pour les chargés de cours – aux recommandations des dossiers pédagogiques des unités de formation (se rappeler que les études montrent que 80 % des chargés de cours dépassent de 20 à 40 % les exigences prescrites dans les programmes et dossiers pédagogiques).

En respectant les horaires.

En n’oubliant pas de pratiquer l’évaluation continue : composée d’exercices et travaux avec évaluation formative et formatrice, d’évaluations sommatives (= interrogations, en moyenne une pour 10 périodes de cours) et d’une évaluation certificative (= examen), en veillant, pour cette dernière, à respecter le seuil de réussite et le niveau de maîtrise définis dans les dossiers pédagogiques (voir également la présentation de Kirsch sur l’évaluation et l’autoévaluation – formations CPEONS).

Éventuellement, en questionnant les étudiants, en fin d’unité de formation, sur la qualité des prestations fournies.

En n’oubliant pas de compléter régulièrement les journaux de classe (assortis de références claires au dossier pédagogique)

En déposant au secrétariat un exemplaire numérique du syllabus relatif à l’unité de formation enseignée.

En respectant les délais de dépôts des documents administratifs (questionnaires d’évaluations certificatives, résultats des examens, journaux de classe, justificatifs des échecs, copies d’examens).

Combien ?

Améliorer la qualité, combien ça coûte, combien de temps cela prend ?

En termes d’argent, la réponse est sans appel, étant donné que l’enseignement fonctionne selon le principe de l’enveloppe budgétaire fermée : rien !

En temps à consacrer à l’amélioration de la qualité, indéniablement, nous devrons progressivement changer, pour certains d’entre nous, nos habitudes de travail, penser autrement, nous organiser en fonction de cette nouvelle (pour beaucoup) philosophie de travail. Voir également le rappel aux chargés de cours, ci-dessus.

Pourquoi ?

Pourquoi (et pour quoi) améliorer la qualité ? Parce que l’idée de travailler en équipe – surtout pour les chargés de cours – nous semblerait-elle trop souvent relever de la fiction

Actualités relatives à la qualité à l’ICC

 

Références utiles sur la qualité